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Faisant suite à la première partie de l'article sur le salon EPF, retrouvez dans ce second opus comment la chape moderne devient elle-même un feuilleté technique. Une évolution, qui ne cadre pas forcément avec l’impératif de rapidité.

Les machines pour chapes fluides ou traditionnelles sont aujourd’hui incontournables. Thermiques, électriques, pneumatiques, centrales mobiles de malaxage, pompe à vis ou à piste : la fabrication des chapes s’automatise. Mais quels équipements choisir ?

En Allemagne, la chape traditionnelle représente toujours plus de la moitié du marché. Ce n’est donc pas par hasard qu’une bonne partie des exposants du salon EPF a répondu aux attentes de secteur.

Chapes, ravoirages allégés ou chapes sèches, les solutions légères permettent de s’affranchir d’un coûteux renforcement des structures.

Se libérer des temps de séchage et enchaîner la pose de la chape et du revêtement de sol, telles sont les promesses de la chape rapide. Cette chape permet aussi d’être posée dans des locaux P4S.

La chaux suscite un regain d’intérêt. Au niveau des sols, elle sert à la fabrication de dalles non porteuses, de formes isolantes, mais aussi de chapes de pose de revêtement. Point sur ses avantages et ses limites.

Problèmes de mise en œuvre, de formulation, de support ? La fissuration des chapes reste un sujet bien plus complexe qu’il n’y paraît. Enquête.