Il faut aller très vite
« Nous le mélangeons avec la quantité d’eau indiquée, soit 6 à 6,25 l pour un sac de 25 kg, directement sur le chantier, à l’aide d’un malaxeur électroportatif », précise Eric Feruglio. Ensuite, les choses s’enchaînent très vite. Le produit est déversé sur le sol et étalé avec une lisseuse à main. L’expérience et le coup d’œil de l’applicateur assurent l’obtention du résultat escompté, en termes de planéité. Sur le chantier de l’hôpital Louis Mourier, l’opération a été renouvelée plusieurs fois, afin de recouvrir le sol de chaque chambre à traiter.
Le weberfloor 4032 ne tarde pas à monter en résistance. « Nous devons le poncer dès qu’il est possible de marcher dessus. Car, plus on attend, plus cela devient difficile, aussi bien pour le compagnon que pour le matériel. » La fiche technique du ragréage indique une classe C35-F7, c’est-à-dire une résistance à la compression de 35 MPa et de 7 MPa à la flexion.
Une fois le weberfloor 4032 appliqué et poncé, l’entreprise Ser a pu procéder à la pose du revêtement final. Un sol PVC en lès soudés in situ. Classique pour un hôpital…