Sommaire du dossier :
- Chapes et techniques courantes
- Les nouvelles règles de mise en oeuvre, Vincent Quenin
- Les enjeux, Christophe Gonnard
- La certification QB46, Nadège Ombé Njiamo
Même s’il ne faut jamais galvauder la valeur des mots, il faut l’écrire : l’heure est historique pour l’activité de chapiste ! Ce qui n’était considéré jusque-là comme une simple opération sur les plannings des chantiers (nous exagérons à peine), devient un métier dans sa pleine reconnaissance juridique. Pour cela, les structures mêmes du marché des chapes fluides vont être modifiées pour afficher un tout nouveau visage dès les lueurs de l’année prochaine.
Mais quelles vont être ces mutations ? Qu’est-ce qui se cache derrière le CQP de chef d’équipe chapiste ? Et quid de la garantie décennale ? Les Avis techniques vont donc disparaître. Tous ou certains d’entre eux, substitués par la certification QB46. Enfin, ces évolutions ouvrent le métier de chapiste au monde de la traçabilité. Mais à quelles questions faudrait-il répondre et comment ces informations devront être conservées ?
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Les pages qui suivent apportent toutes les réponses à ces interrogations, dans des explications claires apportées par trois spécialistes du domaine. Vincent Quenin, président de la commission “Chapes” de l’Unecp-FFB, Christophe Gonnard, référent “Chapes” pour la Capeb. Et Nadège Ombé Njiamo, secrétaire générale de l’Unecp-FFB.