Sommaire du dossier :
- Centrales mobiles : La chape sur place et à emporter
- Les centrales mobiles facilitent les accès
- Des plannings de coulage de chapes simplifiés
- Pas de match centrales mobiles Vs centrales fixes
Pour l’heure, l’industriel propose une chape à séchage rapide, un ragréage de forte épaisseur et un ragréage pour les locaux industriel. « Ces solutions apportent des solutions spécifiques à des besoins techniques des chantiers. Elles permettent à nos clients de faire valoir leur qualité d’expert en matière de sol. Il faut qu’ils puissent répondre aux moutons à cinq pattes, faire à la fois une pente, couvrir des épaisseurs réduites et fortes, ou encore obtenir un séchage rapide. »
D’autres industriels ont, eux, fait le choix de fournir « seulement » les matériaux pour les centrales mobiles. C’est notamment le cas de Cemexa. « Nous avons réalisé les premiers tests de coulage en 2012, pour aboutir à un Avis technique en 2014, sur la Mobicem, notre chape ciment dédiée, explique Axel Bermond, directeur commercial de la marque. C’est un marché qui a tout de suite trouvé preneur et dont la croissance est régulière. Notamment avec des entreprises comme Chrono Chape ou Bassot que nous fournissons. C’est assez logique, puisque pour le chapiste c’est l’assurance de délais de production courts, d’une facilité de mise en œuvre et d’une simplicité d’organisation des plannings. »
Vincent Quenin, dirigeant de Technisol, qui applique la chape Texol/Knauf, ajoute deux arguments supplémentaires en faveur des centrales mobiles : « Nous pouvons facilement définir à l’avance des zones pour installer la production. Ce qui permet de travailler avec une propreté maximale, notamment dans des zones urbaines ou des sites en cours d’utilisation. D’autant que nos camions Brinkmann ont grandement évolué pour réduire la pollution sonore. Donc, outre la réalisation parfaite de la commande, nous travaillons dans un impact minime pour les personnes œuvrant dans la périphérie du chantier ».