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L’électrique, c’est fantastique. Une fois de plus, Brinkmann le confirme en dévoilant le dernier-né de ses EstrichBoy : l’EC 450. Une machine qui se pare des couleurs et du design iOntron. C’est-à-dire la ligne des solutions électriques de la marque. L’EC 450 s’articule autour d’une motorisation développant une puissance de 37 kW en 400 V à 50 Hz, en 63 A. De quoi fournir un débit d’air de 4,4 m3/h. Surtout, un convertisseur de fréquence permet de faire basculer la machine en 50 A, par simple pression sur un bouton. Ceci, tout en garantissant une fiabilité de fonctionnement maximale, sur les sites ayant accès à une alimentation électrique de plus faible puissance. Dans tout les cas, la puissance disponible est similaire à celle délivrée par un moteur Diesel, mais beaucoup plus économe en ce qui concerne le coût d’exploitation. En effet, il n’y a pas de plein de carburant à faire…
L’unité de malaxage est dotée d’un entraînement hydraulique avec marche arrière et protection contre les surcharges. Un ventilateur électrique progressif maintient, de manière fiable, la machine à la température idéale adaptée à l’environnement. Lorsque l’EstrichBoy n’a plus besoin d’être refroidi, il fonctionne d’une manière beaucoup plus silencieuse.
L’EC 450 est destiné à la production des chapes traditionnelles, avec différents types de liants (ciment, anhydrite…). En ordre de marche, elle affiche un poids de 1 890 kg pour des dimensions hors tout de 5 m x 1,56 m x 2,51 m de haut.
De par ces caractéristiques techniques, l’EC 450 présente un faible niveau sonore, offrant des conditions de travail des plus agréables. Ce qui autorise aussi son utilisation sur les sites sujets à des restrictions de bruit. Bien entendu, l’absence d’une motorisation thermique élimine, de fait, toutes les émissions de CO2. Enfin, l’EC 450 garantit des faibles coûts de maintenance. En effet, une motorisation électrique intègre beaucoup moins de pièces d’usure.