Sommaire du dossier :
- Pompes à chapes : Un marché de plus en plus complet
- Brinkmann, classique et électrique
- Bunker, le classique
- Euromair, double solution spécifique
- Glaap&Brinkmann, double évolution
- Imer, chantre du traditionnel
- Du nouveau chez Lancy
- Putzmeister propose une large gamme
- Turbosol, du neuf avec du classique
Chez Glaap & Brinkmann, deux modèles font l’actualité. D’une part, le Concreteman RH, qui se veut être la solution à l’usure des vis de jaquette. « Nous savons que le gros problème des applicateurs de chapes fluides est l’usure des vis jaquette. Ces organes de pompage sont capricieux, explique Geoffrey Grollé, Pdg de Screed and Co, représentant de la marque en France. Que ce soit au niveau de l’usure ou des pertes de puissance sur de grandes distances, les chapistes sont toujours confrontés à des problèmes. »
Ainsi, sur le Concreteman RH, l’ensemble de pompage est composé de deux pistons, un système breveté. Cette nouvelle configuration lui procure légèreté, puissance et facilité d’entretien. L’opérateur de la machine peut donc changer les pistons ou cylindres de manière simplifiée.
Sa puissance de 40 bar et son débit jusqu’à 12 m3/h permettent le pompage de béton fin de granulométrie jusqu’à 16 mm et de type auto-plaçant S5 sur des distances avoisinant les 100 m. En hauteur, il est possible de monter jusqu’à 20 m. En chape fluide, une membrane d’air est ajoutée pour limiter les à-coups, dans cette configuration, le débit reste constant jusqu’à 200 m et plus.
Autre modèle, le Flowman D3-H, désormais disponible dans une version révisée. L’évolution de cette génération se situe dans le compartiment moteur. Ainsi, « le choix de la nouvelle cinématique hydraulique lui offre plus de puissance et améliore son refroidissement. Elle est livrée avec une vis jaquette 7515 ou 2L8 longue life. Et le débit de 20 m2 est facilement atteint. La grande trémie de 250 l reste facile d’accès, peu importe le positionnement du camion-toupie ».